Nous voici dans la forêt de l’année neuve...

Publié le par Patricia Gaillard

Marchant près d’un vieux moulin, nous avons découvert ce blaireau mort sur un petit pont désaffecté. Nous avons pu l’observer et voir comme cet animal est joli. Je ne l’imaginais pas si gros. 

il a neigé au début de la semaine. Les flocons tombaient si doucement, si légèrement. Êtes-vous frappés aussi par la quiétude qui se dégage d’un paysage enneigé ? La neige est un enchantement pour l’âme, pour qui elle est un miroir. 

Dommage pour nos yeux, le lendemain la pluie avait remplacé la neige et depuis un couvercle vaporeux et gris nous cache le ciel. Il est bon d’accueillir tous les temps, comme d’accueillir toutes nos humeurs, car la vie est sans cesse mouvante. 

Cette fois nous avons pénétré pour de bon dans l’année neuve, comme dans une forêt inconnue. Qu’allons-nous y trouver ? Qui allons-nous y croiser ? Surprise...
Pas d’inquiétude, car l’inquiétude est mauvaise conseillère et dévore notre énergie. 
Confiance est plus intéressante, elle attire de bonnes choses. 
Je vous souhaite beaucoup de confiance

Au jardin, navets, carottes, persils tubéreux, betteraves, et même un pied courageux de branches de céleri, dorment sous la couette de feuilles. Ils nous font de très bonnes soupes du soir, accompagnées du pain au levain de notre précieux boulanger et de tomme basque de brebis ou de comté de notre Jura ... hors de question, ici, de se morfondre !
En dessert,  nos pommes en gros dés, revenues dans un peu d’huile de noix de coco, avec une poignée de raisins secs, le tout compoté une vingtaine de minutes à feu extrêmement doux. Surtout pas de sucre, car le plat ainsi, est parfait. 
 

je vous dis à bientôt, car vous parler me manque vite !

la gaillarde conteuse 
 


 

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