Loir et chair...
Loir et chair...
Chaque matin je retrouve des crottes de loirs sur le plan de travail de la cuisine d'été et ça m'agace. Nous avons donc fini par placer un piège, pour prendre sur le fait un de nos visiteurs. C'était sans compter avec leur finesse, car la grosse pêche-appât a été délicatement décrochée, sans activer la trappe pourtant très sensible et le gros fruit a été en grande partie dévoré, une trentaine de centimètres plus loin.
Et nous qui nous croyons plus malins que les bêtes...
Laissez-moi rire !
la gaillarde conteuse