L’an vieux... l’an neuf

Publié le par Patricia Gaillard

Bien sûr nous avons peu à peu donné au temps un sens probablement éloigné de ce qu’il est. S’il est.

Est ce une raison pour fuir nos traditions et nos embrassades sous le gui ? Je ne le pense pas, voici pourquoi je viens, avec grand plaisir, vous souhaiter tout simplement une bonne année. Une bonne année est une année qui contient dans son giron plus de joies que de peines, plus de rires que de larmes. C’est celle-ci que je vous souhaite, de tout cœur. Je voudrais aussi, ici, rendre hommage à ma chère amie conteuse Fiona MacLeod, qui a quitté cette terre le 31 décembre. Femme généreuse, attentionnée, gaie et facétieuse. Je n’arrive pas à parler d’absence et je dirais même qu’elle m’est plus proche que jamais.

Songez que nos morts ont quitté ce que la vie a de lourd, de confus et d’insaisissable, pour entrer soudain dans la grande conscience, la grande cohérence. Comment ne pas le percevoir, en visite gracieuse, au-delà de ce que l’on nomme la tristesse.

Voici ce que m’inspire la mort.

Je vous embrasse, vous tous que je souhaite gais et vivants !

Patricia

L’an vieux... l’an neuf
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E
Bonne année à toi également, même si j'ai, comme toi, perdu début décembre une amie de blog qui écrivait des poèmes et des histoires d'enfance. On se console comme on peut, mais surtout on continue à faire partie des vivants. Nous poursuivons notre chemin. Bon week end !
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